[M/Libre] ↝ Stephen Amell.

Bien des années ont passés depuis que Theo m’a fait cette promesse. Comme convenu, nous sommes restés un an dans la famille d’accueil, jusqu’à ce qu’il ait dix-huit ans et puisse toucher l’héritage de nos parents. C’est-à-dire pas grand-chose, à part la maison, que nous avons vendu. Cet argent nous argent nous à permit de trouver un petit appartement dans lequel nous avons vécu jusqu’à il y a quelques semaines. Je suis maintenant âgé de vingt-trois ans et Theo ne se préoccupe plus de ces trois poils sur le menton depuis bien longtemps. Mon frère est beau. Nombreux sont les gens qui se retournent sur son passage. Pas seulement les femmes d’ailleurs. Mon ex petit ami m’a avoué un jour qu’il le trouvait pas mal et pourtant, il n’y avait pas plus hétéro que lui. Enfin bref, depuis que mon frère m’a fait cette promesse nous avons entamés nos recherches. Du moins, il a commencé de son côté et lorsque j’ai été suffisamment âgée pour l’aidé, je l’ai fait. Nous avons découvert que l’entreprise de papa avait des dettes. De grosses dettes et que notre argent personnel n’avait pas suffi à les éponger. Il ne voulait pas vendre la maison ou l’hypothéquer pour ne pas inquiéter notre mère alors il à essayer d’obtenir un prêt à la banque, mais ils ont refusé. Ils ne voulaient pas lui donner d’argent, et ils ne voulaient pas non plus lui donner un délai. Alors papa à demander de l’aide à un ami à lui ; à défaut de l’appeler autrement ; et ce dernier à accepter de le lui prêter. Le problème c’est qu’au final, Richard McCall a perdu plus d’argent qu’il n’en avait prêté. Papa a alors vendu la société ; sans en parler à maman ; mais ça n’a pas suffi. L’homme l’a alors traqué et il a fini par débarquer chez lui un vendredi soir pour régler ses comptes avec lui. Quand papa a vu la voiture se garer dans l’allée, il nous a fait monter Theo et moi et on ne peut que deviner la suite. Il a tiré sur papa et quand maman est sortie de la cuisine ou il lui avait sûrement dit de se cacher, il lui à tirer dessus à elle aussi. Nous avons également appris que McCall vivait à Weymouth, la ville ou nous étions nés, alors nous avons décidés de nous installer là-bas sous un faux nom. Nous étions les Stern, nous sommes devenus les Johnson. J’ignore encore comment nous allons obtenir justice pour nos parents, mais pour l’heure, nous avons réussi tous les deux à nous faire embaucher au service des McCall. Moi comme femme de ménage, mon frère comme garde du corps.